Le royaume de Kensuké
illustrations François Place
Gallimard Jeunesse - 16 euros Collection Folio – 7,20 euros
A 11 ans Michael embarque avec ses parents pour faire le tour du monde. Un jour, Michael seul à la barre tombe à l'eau avec sa chienne, Stella Artois. Il reprend connaissance, sur une île au milieu de l'Océan Pacifique, Stella Artois à côté de lui. Il est seul, affamé, assoiffé, piqué par les moustiques, le découragement le gagne. Mais un matin, il découvre près de lui, de l'eau, du poisson, des bananes : il n'est donc pas seul. Les relations avec Kensuké, son sauveur se révèlent toutefois très difficiles. Celui-ci lui interdit de faire du feu, partage l'île en deux, mais continue de prendre soin de lui. Un jour, Kensuké le sauve des méduses et c'est le début d'une amitié extraordinaire.
Ils vont apprendre à se connaître, à s’apprécier. Ils arriveront à communiquer et à se raconter leur histoire. Kensuké est là depuis la fin de la seconde guerre mondiale, sa famille vivait à Nagasaki, aussi a-t-il décidé de rester sur l'île, protégeant les orangs-outans de la folie des hommes. Une belle histoire d'aventure, d'amitié, de sagesse et d'humanité. Michael Morpurgo, nous embarque dans un de ces voyages dont on rêve enfant. C'est aussi un beau livre, qu'on a plaisir à prendre en main, à feuilleter. Les illustrations de François Place, sous forme de vignettes, accompagnent merveilleusement le texte, on sent une complicité entre l'auteur et l'illustrateur.
Seul sur la mer immense
Gallimard jeunesse- 14,90 euros
A la fin de sa vie, un homme raconte…
En 1947, Arthur a six ans. Il a été, comme quelques dix mille enfants anglais, embarqué sur un bateau pour l’Australie. C’est ainsi qu’il arrive au ranch Cooper où, sous prétexte de mener les orphelins qu’il accueille vers le « Seigneur », Piggy Bacon les traite comme des esclaves. C’est la période la plus noire de la vie d’Arthur. Heureusement il y a Marty, compagnon d’infortune qui l’aide à survivre, à garder l’espoir, et la clé porte-bonheur que lui a confié Kitty, sa sœur, avant qu’ils ne soient séparés. Puis il y a la fuite avec Marty et leur séjour chez tante Megs, ferme et tendre, qui va les éduquer, leur apprendre à lire, à fabriquer des bateaux miniatures, leur donner l’amour de la mer, et lorsqu’elle pense qu’Arthur et Marty sont prêts à vivre leur vie, elle leur trouve du travail sur un chantier naval. Ils vivent tantôt sur le chantier, tantôt sur la mer, jusqu’à la mort de Marty. Et puis il y a la guerre du Vietnam, le désespoir, l’hôpital et la rencontre de Zita, et, enfin, le bonheur. Avec son beau-père, il construit des bateaux, et promet à sa fille, Allie, qu’ensemble, à bord du bateau, le Kitty IV, dont il a réalisé les plans, ils iront en Angleterre, à la recherche de sa sœur, Kitty. Mais Arthur meurt sans avoir eut le temps de tenir sa promesse.
Allie ira jusqu’au bout du rêve de son père. A bord du Kitty IV, elle part seule sur la mer, et c’est grâce aux mails qu’elle envoie à sa mère et à son grand-père que nous suivons son aventure, une formidable traversée en solitaire.
Un roman si riche, si dense, qu’il est difficile à raconter. Comme toujours, Michael Morpurgo nous fait voyager, nous fait réfléchir, nous transporte. A partir d’un fait historique qui a bouleversé la vie de milliers d’enfants, il invente une aventure humaine extraordinaire.
Le roi de la forêt des brumes, ill. François Place, Gallimard Jeunesse – 17 euros
coll Folio junior – 7,50 euros.
Ashley Anderson vit en Chine où son père a fondé une mission et un hôpital. Sa mère est morte peu après sa naissance. La guerre entre la Chine et le Japon fait rage et le jeune garçon doit fuir. En compagnie d’Oncle Sung, un moine tibétain qui est comme son second père, il entreprend un long et périlleux voyage qui doit le mener au Tibet, puis en Inde et, de là, en Angleterre. Alors qu’ils traversent l’Himalaya, Ashley perd la trace de son compagnon. Perdu dans la neige, abandonné à lui-même, il rencontre alors une étonnante créature. Ashley est recueilli par des êtres de légende, le peuple des yétis. La vie du jeune garçon va en être transformée.
Au pays de mes histoires Gallimard jeunesse – 13,50 euros
Quel plaisir de découvrir au fil des pages l’univers de Michael Morpurgo. Au pays de mes histoires est un habile mélanges d’histoires, certaines que nous connaissons, d’autres que nous découvrons et pour notre immense plaisir des réflexions de l’auteur, il nous parle de sa vie, comment elle a influencé son écriture, au fil des pages nous comprenons ce qui fait le talent de Michael Morpurgo, ce qui nourrit son œuvre.
« Je suis un raconteur d’histoires. Je les cultive aussi sûrement qu’un paysan fait pousser ses céréales. Je suis un tisseur de rêves, un conteur. Grâce aux histoires que ma mère m’a lues, et à celles que j’ai lues moi-même, grâce à des professeurs inspirés, et à mes grands mentors : Robert Louis Stevenson, Ted Hughes et Sean Rafferty, grâce à de nombreuses années de travail. »
Le secret de grand-père, ill. Michael Foreman,
Gallimard Jeunesse, coll. Folio cadet – 5,50 euros.
Le narrateur est un enfant de la ville mais il a appris l'amour de la campagne et des travaux des champs auprès de son grand-père. Toujours prêt à raconter les histoires d'autrefois, ce grand-père ! Sauf certains jours : il reste alors taciturne et sombre. Quel secret le tracasse ? Pendant toute son enfance, le jeune garçon attendait le moment des vacances pour retrouver son grand-père et la vieille ferme du Devon. Pas besoin d'inventer des histoires : écouter grand-père parler de son enfance, de son père, de Joey le cheval suffit à nourrir un imaginaire exigeant. Même le tracteur, le vieux Fordson vert remisé dans la grange a une histoire. Mais alors que ses études finies, l'enfant devenu adulte s'apprête à quitter l'Angleterre, le grand-père révèle un secret, un regret, une honte qu'il n'avait avouée qu'à la grand-mère morte depuis vingt ans. Le jeune homme se trouve devant une décision à prendre qui donnera une orientation à toute sa vie.
Soldat Peaceful
Gallimard Jeunesse - 13,50 euros
Il s'appelle Thomas Peaceful. On l'appelle Tommo. Il n'a que dix-sept ans mais il a déjà vécu bien des choses, des joyeuses et des plus tristes. Il a passé une jeunesse heureuse avec sa mère et ses frères à la campagne, même si la vie n'était pas toujours facile.
Tout a changé lorsqu'il est parti pour la guerre avec son grand frère Charlie.
Cette nuit, Tommo ne veut surtout pas dormir, il veut penser à lui, à eux, à leur vie passée. Parce que demain, au petit matin, son existence va basculer pour toujours. Il veut profiter pleinement de ces dernières heures pour se souvenir, pour ne jamais oublier que rien n'est plus beau que l'amour et la fidélité, que rien n'est plus terrible que l'injustice et la guerre…
Toro ! Toro ! ill Michael Foreman,
Gallimard Jeunesse - coll. Folio cadet -5,90 euros.
Un grand-père raconte à son petit fils sa plus grosse bêtise. En vérité c’est son enfance qu’il raconte et une page de l’histoire de l’Espagne.Antonito vit dans une ferme et son père élève des taureaux pour la corrida. Antonito va se prendre d’affection pour Paco, un jeune taureau qui lui est confié. Il sait que son protégé est destiné à la corrida, et est fasciné par la danse du matador, mais quand il assiste à sa première corrida et qu’il découvre « la mise à mort » il est révolté et n’a plus qu’une idée : sauver Paco. Les deux amis vont fuir, mais la guerre civile les rattrape et ce n’est plus seulement la vie de Paco qu’il doit sauver mais aussi la sienne.
C’est une belle histoire d’amitié, mais c’est aussi une page de l’histoire que les enfants découvriront et une dénonciation de la violence.
Cheval de guerre, ill. Willi Glasauer,
Gallimard Jeunesse – 14 euros
coll. Folio junior- 6,50 euros.
«Pourquoi est-ce qu’il faut que cette guerre détruise n’importe quoi, détruise tout ce qui est bien, tout ce qui est beau ? » C’est la guerre qui a poussé le père d’Albert à vendre Joey, le cheval de son fils. C’est la guerre qui fera de Joey, une brave monture de cavalerie. C’est aussi la guerre qui mettra sur la route de cette splendide bête des rencontres fortes et extraordinaires ; des gens courageux qui lutteront pour survivre entre le sifflement des bombardements, la maladie et certaines absurdités humaines. C’est dans l’espoir de retrouver son cheval qu’Albert, quelques années plus tard, s’enrôle dans le service vétérinaire de l’armée britannique.
Le roman de Morpurgo montre la guerre à travers les yeux de ce cheval ; un cheval qui raconte l’horreur, oui, mais aussi la vie, l’amitié et la compassion humaine.
L’année des miracles, Gallimard Jeunesse, coll Page blanche -7,70 euros.
Angleterre - 1952
A la rentrée des classes, le jeune Simon Christopher débarque au pensionnat de Redlands, où se pratiquent une autorité et un conformisme des plus oppressants. Dès le premier jour, il ne manque pas de s’opposer contre ce totalitarisme absurde... pour une simple histoire de glaçage sur un gâteau de riz. Une audace qui fait tourner la situation au ridicule ! L’intégrité pour Simon a quelque chose de sacré... même si cela peut lui attirer des ennuis. Mais par ailleurs, cet élève accumule les succès académiques, en particulier en éducation religieuse, où ses résultats sont à couper le souffle. Le jeune Toby et lui deviendront des amis inséparables. Or, Toby sera témoin de l’évanouissement de Simon en de curieuses circonstances, et les confidences sont lourdes à porter : Simon a été choisi pour réincarner le Christ revenu sur terre pour sauver le monde et pendant ses « absences », le Christ lui dicte ses actes. D’abord sceptique, Toby doit se rendre à l’évidence quand les miracles annoncés par son ami surviennent vraiment. Sauver le monde, pour Simon, c’est d’abord enrayer les guerres de territoire qui opposent le clan des jeunes de Redlands à celui de l’autre rive, à la tête duquel se trouve Benji, le frère de la jolie Wanda, qui ne laisse pas Toby indifférent...
Le jour des baleines, ill Nathaël Vogel, Gallimard Jeunesse, coll Folio junior – 5,80 euros.
Une étrange malédiction plane sur l’île de Samson. Tout cela à cause de l’Homme-Oiseau, l’homme de qui la solitude et le mystère fait jaser, l’homme que tout le monde croit fou, dangereux et responsable des plus grands malheurs... Mais est-ce possible que celui qui laisse des messages aux jeunes Gracie et Daniel dans le sable à l’aide de petits coquillages soit si odieux et si dangereux ? Envers et contre tous, les deux enfants vont l’apprivoiser et apprendre à le connaître, en cachette, malgré la peur qui frémit en eux. Quand la guerre éclate contre les Allemands, le père de Gracie s’enrôle dans la marine. Voulant aider sa mère à subvenir à leurs besoins, celle-ci s’aventure avec Daniel en mer à la recherche de quelques crevettes et poissons ; une tempête les fera s’échouer sur Samson. Peu après, le père de gracie est porté disparu. « C’est la malédiction de Samson, la malédiction de l’Homme-Oiseau ! » affirment les mauvaises langues. Mais le vieil homme veillera sur elles. Lorsque survient le jour des baleines, la catastrophe est épargnée grâce à la maman de Gracie qui saura rallier les hommes - non sans peine - à l’Homme-Oiseau.
Monsieur Personne, ill. Jean-Claude Götting, Gallimard Jeunesse, coll. Folio Junior – 5,80 euros.
Quand sa mère se remarie, Harry a du mal à accepter l’intrusion de Bill qui vient ébranler la relation privilégiée qu’il entretenait avec elle depuis la mort de son père. Un jour il fera une curieuse rencontre, celle du vieux Clown, Monsieur Blondini, et de son amie Ocky, une femelle chimpanzé qui lui sert de regard. Alors lorsque Harry la retrouve toute seule au parc, il la ramène avec lui dans son refuge secret, en dessous des ruines d’une vieille maison bombardée. Le jour où sa mère accouche du petit George, c’est décidé, il s’enfuit avec Ocky, et là, les aventures et les rencontres se succèdent à un rythme affolant !
«Pourquoi est-ce qu’il faut que cette guerre détruise n’importe quoi, détruise tout ce qui est bien, tout ce qui est beau ? » C’est la guerre qui a poussé le père d’Albert à vendre Joey, le cheval de son fils. C’est la guerre qui fera de Joey, une brave monture de cavalerie. C’est aussi la guerre qui mettra sur la route de cette splendide bête des rencontres fortes et extraordinaires ; des gens courageux qui lutteront pour survivre entre le sifflement des bombardements, la maladie et certaines absurdités humaines. C’est dans l’espoir de retrouver son cheval qu’Albert, quelques années plus tard, s’enrôle dans le service vétérinaire de l’armée britannique.
L’étonnante histoire d’Adolphus Tips
Gallimard Jeunesse, coll. Folio Junior -6,50 euros
Boowie a une grand-mère extraordinaire. Un jour elle disparaît en lui laissant une lettre et le journal qu’elle tenait enfant. Avec Boowie nous découvrons la vie de la jeune Lily en Angleterre pendant la seconde guerre mondiale. Lily une petite fille comme les autres, allant à l’école, maudissant son père lorsqu’il tue les chatons de Tips, sa chatte. Et puis, petit à petit nous plongeons dans un épisode souvent ignoré en France : l’évacuation en Angleterre de nombreuses zones côtières afin de simuler des débarquements pour que les soldats soient prêts pour l’opération réelle. Lily et sa famille, comme tant d’autres, n’a que quelques jours pour partir, emmener vaches, moutons, poules et trouver un lieu d’accueil. L’oncle Georges hébergera tout ce petit monde, mais catastrophe, Tips a disparu et Lily est prête à tout pour la retrouver. Et même, elle risquera sa vie en allant dans la zone interdite, où elle rencontrera Adie et Harry des « yankees » noirs. Adie sera son premier amour.
Un roman émouvant pour connaître un peu mieux une période historique souvent abordée par Michael Morpurgo.
Anya, ill. Rozier-Gaudriault,
Gallimard Jeunesse – 5,90 euros.
Benjamin et sa petite fille Anya sont juifs. La Pologne étant bombardée par les Allemands, ils s'enfuient sur Paris. Mais la guerre les a séparés. C'est chez la veuve Horcada, sa belle-mère, que Benjamin attend en cachette le retour de sa fille. C'est là le point de rencontre qu'ils s'étaient donnés lorsqu'ils avaient établi leur plan de fuite, si par malheur la guerre devait les éloigner l'un de l'autre. Dans cette attente, il recueille secrètement d'autres enfants juifs et guette le moment propice qui pourra leur permettre de fuir vers l'Espagne. C'est lors d'une spectaculaire chasse à l'ours que Jo, dont le père a été enrôlé pour combattre les Allemands, va faire la connaissance de Benjamin. Envers et contre toute menace qui pourrait mettre sa vie en péril, Jo décide de prêter main forte à ce dernier en portant les courses chez la veuve Horcada, dans le but de déjouer les soupçons qui pourraient voir le jour sur les quelque douze enfants qui se cachent dans la grange de la vieille. Avec l'aide de grand-père, ils prendront le risque de rallier à eux tout le village lorsque s'impose le moment de faire passer la frontière à tous ces enfants.
Le trésor des O’Brien, ill. William Geldart,
Gallimard Jeunesse, coll. Folio junior – 6,40 euros.
A cause d'une épidémie de fièvre due à la famine qui fait rage en Irlande, la maman de Sean et Annie est gravement malade, et leurs frères et soeur ont déjà succombé à la maladie. Le sergent Will convainc donc les deux enfants de s'embarquer vers l'Amérique, sur les traces de leur père.
Commence alors le récit d'une grande aventure parsemé de fortes rencontres : Crincrin Donnely le virtuose du violon ; petit Luke et les vieilles soeurs Henry et Martha, qui, le temps d'un rude hiver, leur feront office de deuxième famille, le colonel Whitman, un « sacré ch'napan » fort attachant grâce auquel ils pourront atteindre la Californie, et puis Seamus Finn, chercheur d'or Irlandais, en qui leurs derniers espoir sont fondés. Quand enfin, les voilà devant la demeure de leur père, une autre surprise les y attend...
Plus jamais Mozart, ill. Michael Foreman.
Gallimard jeunesse – 11,90 euros
C'était la chance de ma vie! J'allais me rendre à Venise pour interviewer le grand violoniste Paolo Levi. Mais je savais qu'il ne fallait surtout pas prononcer devant lui le nom de Mozart. Comment imaginer alors l'histoire qu'il allait me raconter: son histoire, un secret dont il pouvait enfin se libérer...
La musique réveille l'écho d'un passé terrible pour nous plonger au cœur de la nuit la plus noire. Un récit très fort porté par une écriture simple, pudique, et les aquarelles émouvantes de Michael Foreman.
Le naufrage du Zanzibar, ill. François Place,
Gallimard Jeunesse, coll. Folio junior – 5,30 euros.
Le lion blanc, ill. Jean-Michel Pavet,
Gallimard Jeunesse, coll. Folio junior – 8,40 euros.
Le roi Arthur, ill. Michael Foreman,
Gallimard Jeunesse, coll. Folio junior -5,90 euros.
Robin des bois, ill. Jean-Philippe Chabot,
Gallimard Jeunesse, coll. Folio junior. 5,50 euros.
Les neuf vies du chat Montezuma
Pocket Jeunesse – 5,50 euros.
Jeanne d’Arc, ill. François Place,
Gallimard Jeunesse, coll Folio junior – 5,80 euros.
Tempête sur Shangri-La, ill. David Giraudon,
Gallimard Jeunesse, coll. Folio junior – 5,80 euros.
Cool, ill. Michael Foreman,
Gallimard Jeunesse, coll. Folio junior – 4,00 euros.
L’histoire de la licorne, ill. Gary Blythe
Gallimard Jeunesse, coll Folio cadet – 6,50 euros
Albums
Le cygne argenté, ill. Christian Birmingham,
Kaléidoscope - 13 euros.
La sagesse de Wombat, ill. Christian Birmingham,
Gautier-languereau - EPUISE.
Beowulf, ill. Michael Foreman,
Gallimard Jeunesse – 14 euros
Sire Gauvain et le chevalier vert, ill. Michael Foreman
Gallimard Jeunesse – 16 euros
Les Fables d’Esope, ill. Emma Chichester Clark
Gallimard Jeunesse – 18 euros
La nuit du berger, ill. Quentin Blake
Gallimard Jeunesse – 8,50 euros
Né en 1943, Michael Morpurgo habite en Angleterre et partage son temps entre l’enseignement et le programme éducatif qu’il dirige avec sa femme et qui consiste à recevoir des enfants de quartiers défavorisés de grandes villes sur leur ferme. « L’idée est d’élargir leurs horizons, de les mettre en contact avec la terre et la nature, de faire en sorte qu’ils se sentent utiles, que leur contribution soit importante». Il a écrit plus d’une quarantaine de livres traduits dans de nombreuses langues. Il a aussi réécrit trois de ses romans en vue d’une adaptation cinématographique : Cheval de guerre, Le Jour des baleines et Le Roi de la forêt des brumes. « Il faut rester soi si on parle ou écrit à un enfant. Je suis plus vieux, j’ai plus d’expérience que lui, mais je ne suis pas plus intelligent (...) pire : en tant qu’adulte, j’ai perdu de la clarté ».