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  • Liste des Dévoreurs de Livres 2017

    Voici la liste des Dévoreurs 2017 

    et leur présentation 

     

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    Dévoreurs 2017 Résumés CM.pdf

     

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    Dévoreurs 2017 Résumés 6e.pdf 

     

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    Dévoreurs 2017 Résumés 5e.pdf

     

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    Dévoreurs 2017 Résumés 4e.pdf 

     

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    Dévoreurs 2017 Résumés 3e.pdf

    Vous trouverez en permanence ces livres à la librairie   

    Bonne lecture !

  • Dédicace Pierre Chassagne

    Dédicace de Pierre Chassagne

     

    Samedi 8 octobre

    à la librairie

    de 10h à 12h et de 14h à 17h30

     

     

    Pierre Chassagne

    pour

    Son premier livre

     

     

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    Pierre Chassagne,

    Ebroïcien, Bonnevillois et... Auvergnat !

    "Un jour, j'ai eu besoin d'écrire. J'ai romancé des moments de ma vie. Hommage aux merveilleuses rencontres, celles qui indiquent le chemin...

    Puis une fois, j'ai ressenti le besoin d'être lu. Alors...

    Alors je vous confie, chers lecteurs, la tâche de me lire. Et de me dire..."

    Pierre.

     

     

     

    Mes crayons en noir et blanc

    Éditions du Panthéon : 15.90 €

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    " 'Dans un coin de France, un petit garçon traîne sa curiosité devant ma fenêtre. Alors je sors et on va jouer aux billes. Un peu plus loin, c'est une troupe d'ados qui m'invite à la grande musique des années 70, toile de fond de notre amitié et de nos infidélités.

    Puis vient le temps des percussions amoureuses et des cicatrices de l'âme. Je vous suis parce que vous me rendez heureux. Même si parfois vous m'agacez.'

    C'est au fil du temps que les souvenirs parfois se décolorent en noir et blanc, souvent au seul profit du beau. Théâtrales autant qu'intimes, les nouvelles de Pierre Chassagne s'enchaînent et se succèdent comme autant d'instants précieux par leur sincérité.

    Réunis en une formidable fanfare littéraire, tous ceux dont il a croisé le chemin jouent sans relâche la symphonie fondamentale d'une vie. Du bout de ses crayons comme s'il s'était agi d'une baguette, l'auteur prend le pouls, donne la cadence, et dirige les premières pages d'une partition humaine. Un solo de solitude, un festival aux quatre vents, une foire d'empoigne... Un récital pour l'amour ! "

     

     

    A bientôt dans notre librairie !

     

  • Entretien avec Clémentine Beauvais

    Nous avons (beaucoup) aimé ce livre...

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    Songe à la douceur, de Clémentine Beauvais

    aux Editions Sarbacane, dans la collection Exprim'

    paru le 24 août 2016

    Prix : 15,50 €

     

    Tout commence par une rencontre dans le jardin d'un pavillon de banlieue : Eugène, 17 ans, parisien friqué et blasé qui croit tout connaître de la vie, tombe nez à nez avec Tatiana, une adolescente discrète et plus jeune que lui plongée dans les classiques de la littérature amoureuse.

    Lui se pense déjà gâché, usé, dénué d'envie pour le reste de son existence. Au contraire, Tatiana est pure comme un bouton de rose, prête à éclore, tournée vers le soleil. Deux âmes qui s'opposent et s'attirent, deux âmes vouées au tourment...

    Derrière ce motif en lui-même plutôt banal se cache un drame amoureux sublimement écrit. On y entre intrigué par la forme singulière du récit, on en sort transfiguré. L'écriture y est lumineuse et élégante. Le rythme est palpitant, à la manière d'un thriller : un thriller d'amour impossible à poser.

    C'est donc un infini remerciement qu'il faut adresser à Clémentine Beauvais pour ce roman qui nous transporte loin et nous éprouve jusqu'au fond du cœur dans un voyage poétique total.

     

    Nous avons voulu en savoir plus. Entretien :

     

    l'Oiseau Lire : Avec Songe à la douceur, vous transposez magistralement le poème dramatique Eugène Onéguine de Pouchkine, dans notre monde actuel. Votre talent est remarquable. Qu'est ce qui vous a poussé à vous approprier cette histoire et à la moderniser ?

    Clémentine Beauvais : D’abord, merci pour ces très gentils mots ! Eugène Onéguine m’habitait depuis plusieurs années – j’avais une sorte d’obsession pour l’opéra et le roman, et Songe à la douceur a été un moyen de l’exorciser, ou du moins de l’externaliser. J’ai toujours pensé que c’était une histoire passionnément adolescente, notamment dans la représentation de l’amour, de la mort, de l’amitié, de l’honneur. A bien des égards, sa transposition dans le présent (enfin, dans notre présent) n’est pas une modernisation : l’histoire originale est déjà résolument moderne…

    Cependant, il y a quand même des choses qui ont changé ; c’était intéressant pour moi de réfléchir à ce qui pourrait constituer, aujourd’hui, les paramètres d’une relation amoureuse adolescente et jeune adulte – les nouvelles contraintes, les nouvelles angoisses, les nouvelles manières de communiquer. Certains motifs – le mariage, le duel notamment – auraient été d’étranges anachronismes. Donc, il y a eu une actualisation, qui a fait l’objet de beaucoup de questionnements de ma part et de celle de mon éditeur. A côté de ce travail-là, il y a aussi eu des éléments qui sont venus plus instinctivement, tirés de mes expériences ou de celles d’ami/es de mon âge.

    Dans votre récit vous jouez le rôle de narrateur omniscient. Mais, chose plus rare, on vous lit dialoguer directement avec vos personnages, tenter de les influencer, et aller jusqu'à porter un jugement sur leur conduite. Qui est pour vous le héros ou l'héroïne de cette histoire ?

    Il me semble que Tatiana et Eugène, à part égale, sont les deux protagonistes de l’histoire. Ceci dit, la narratrice joue aussi un rôle important, car elle met de la distance et un peu d’humour – parfois de sarcasme – dans le duo Eugène-Tatiana ; je voulais qu’elle aère le récit, qui aurait pu être trop intense s’il était seulement focalisé sur ces deux personnages. J’ai toujours aimé les narrateurs intrusifs, joueurs, non fiables, ironiques, etc. Et puis il est difficile de parler d’amour en étant absolument sérieux…

    Derrière l'histoire d'amour, vous parlez d'une jeunesse tourmentée qui a du mal à trouver sa voie dans la vie, à faire des choix satisfaisants. Est-ce l'expression de ce que vous observez ? De ce que vous vivez ou avez vécu ?

    Je ne veux surtout pas pleurer sur le sort de jeunes occidentaux privilégiés comme Eugène ou Tatiana ! Mais je pense que ce groupe de jeunes adultes, dont je fais partie, rencontre des problèmes existentiels qui en font des personnages assez intéressants. Il n’existe plus, ou très peu, d’engagements incassables, ni de forts réseaux d’obligations ou d’attentes – se marier, avoir une profession fixe, des enfants, etc. En parallèle, et en partie à cause des réseaux sociaux, des dizaines de choix de vie s’exposent à nous dans une espèce de joie hystérique, créant ce que les Anglo-Saxons appellent Fear Of Missing Out (#FOMO), la peur d’être en train de rater quelque chose. Il faudrait pouvoir tout essayer, puisque tout semble si enthousiasmant. Et en même temps, on regarde parfois avec envie ceux et celles qui arrivent à s’arrimer, à ‘se poser’, à s’engager dans un seul projet de vie.

    Je vois des comportements différents en réaction à cette tension. Certaines personnes deviennent éminemment sérieuses, se fabriquent des engagements profonds, se constituent des réseaux d’obligations similaires à ceux qui ont ‘disparu’, s’imposent des contraintes et des valeurs fortes. D’autres s’accommodent plutôt d’une sorte de coexistence de vies parcellaires ; comme moi, qui ai choisi de ne pas choisir entre ma profession d’universitaire et celle d’auteure.

    Je pense que Tatiana appartient à la première catégorie, et le problème qu’elle rencontre, c’est la limite intrinsèque à toute décision existentielle profonde, c’est-à-dire qu’elle annule les possibilités d’autres choix. Je pense que Tatiana est une jeune femme engagée au sens fort du terme, c’est-à-dire qu’elle s’est engagée dans une voie, et qu’elle doit donc accepter en retour le fait que c’est un projet de vie qui en exclut d’autres. Aucune option n’est totalement satisfaisante (heureusement, d’ailleurs), en partie parce qu’il est difficile, je crois, d’accepter des limitations quand nous avons la chance de pouvoir nous les poser nous-mêmes – il y a toujours une voix qui dit : ‘Tu pourrais décider qu’il en soit autrement’.

    Songe à la douceur est inclassable, à la limite entre la littérature jeunesse et la littérature adulte, et entre la poésie et la prose. On en sort en se disant qu'il est vain de toujours vouloir classer les livres. Comment percevez-vous votre récit ? Avez-vous le projet d'écrire pour les adultes ?

    Dans mon esprit, c’est un roman qui s’adresse de manière privilégiée aux adolescents et aux jeunes adultes. Je n’ai rien contre le fait qu’il soit lu par des adultes, bien sûr, mais ce n’est pas le lectorat que j’avais en tête en l’écrivant. Je pense que c’est un livre qui est intensément focalisé sur des interrogations, des états d’esprit et des désirs qui sont particulièrement actifs au début de la vie. Mais si le livre ‘résonne’ auprès de lecteurs plus âgés, c’est peut-être que ces questionnements resurgissent tout au long de l’existence.

    Je n’ai pas de projet d’écriture pour adultes ; les idées qui me viennent ont tendance, pourrait-on dire, à ‘appeler’ un style, une structure, un format, etc. idéalement situés en littérature jeunesse. Peut-être que cela changera un jour, mais alors ce sera dicté par une nouvelle idée qui ‘appellera’ d’autres configurations ; pas par un désir de ‘passer en adulte’.


    Merci !

     

     

     

  • Soirée de transmission à la médiathèque d'Evreux


    Ce samedi 3 septembre, à la médiathèque...

     

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    ...de nombreux soutiens ont répondu présent à l'invitation.

     

    Nous fêtions la transmission prochaine de la librairie, à l'occasion du vernissage de l'exposition des illustrations originales offertes par  Frédéric BihelIrène BonacinaMartine Bourre,   Eva Chatelain,   Jean Claverie,   Michel Gay,   Ghislaine Herbera,   Vanessa Hié,     Alexandra Huard,   Delphine Jacquot,   Régis Lejonc,   Dorothée de Monfreid,    Maurice Pommier,   Mandana Sadat,   Rémi Saillard   et   Catharina Valckx   pour la campagne ulule .

    Les illustrations, toutes magnifiques, sont visibles à la médiathèque jusqu'au 1er octobre 2016.

     

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    ici, illustrations de Vanessa Hié, Martine Bourre, Irène Bonacina, Mandana Sadat, Jean Claverie et Frédéric Bihel

     

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    Martine Bourre était présente et a dessiné...

     

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    ...en musique avec France de Bourguignon.

     

    Malika Ferdjoukh nous a également fait le grand plaisir de venir. Elle a lu un extrait de son livre Broadway limited : Un dîner avec Cary Grant.

     

     

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    Lecture de Malika: Broadway limited





    Cela a été un vrai bonheur de partager ce moment avec les personnes présentes, et une déception de ne pouvoir accueillir tout le monde dans les locaux de la médiathèque.

    Merci à toutes et à tous...

     

    Quelques photos de la soirée :

     

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    Quelques mots d'Antoine Jolly et d'Annie


     

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