Samedi 2 décembre
Rencontre, Dédicace
avec Régis Lejonc
De 10 heures à 12 heures et de 14 heures à 18 heures
Et, toujours, jusqu'au 9 décembre
Exposition de son travail "hors norme" à la librairie
Nous vous attendons nombreux
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Samedi 2 décembre
Rencontre, Dédicace
avec Régis Lejonc
De 10 heures à 12 heures et de 14 heures à 18 heures
Et, toujours, jusqu'au 9 décembre
Exposition de son travail "hors norme" à la librairie
Nous vous attendons nombreux
L’aube sera grandiose (Gallimard Jeunesse) remporte la première édition du "Goncourt de la littérature jeunesse"tandis que Naissance des cœurs de pierre, d’Antoine Dole ((Actes Sud Junior) et Colorado Train, de Thibault Vermot (Sarbacane) reçoivent des mentions.
L'aube sera grandiose - Anne-Laure Bondoux - Gallimard jeunesse - 14,90€
Un lac, une cabane au milieu de nulle part. C'est l'endroit où Titania a emmené Nine, sa fille, qui, révoltée à l'impression d'être enlevée, la fête du lycée ne sera pas pour elle. Pourquoi Titania n'a rien voulu entendre de ses protestations, pourquoi lui parle t'elle de personnes dont elle n'a jamais entendu parlé ? Elles sont là, loin de tout, et nous comprenons que cette maison est un refuge plein de souvenirs. Des souvenirs, une histoire, son histoire que Titania , tout au long de la nuit raconte . Le mystère est épais, même son prénom n'est pas le vrai.
Au fil du récit, se dévoile peu à peu une famille au liens indestructibles, mais je ne vous en dirais pas plus car ce secret si bien gardé c'est Titania qui vous le révélera au fil de votre lecture.
Comme dans ses précédents romans Anne-Laure sait nous emporter, nous faire oublier le monde autour de nous. Un grand roman que l'on ne peut lâcher.
Nous avons eut le plaisir, un soir, de recevoir Anne-Laure à la librairie
Voici, une vidéo d'Anne-Laure lisant et expliquant un extrait de son livre
Le Temps des miracles
Regardez et vous comprendrez pourquoi nous étions passionnés
Et bien sûr vous trouverez les livres d'Anne-Laure Bondoux à la librairie
ou vous pouvez les commander sur le site
Notre revue Citrouille vous attend à la librairie
Vous y trouverez les coups de cœur des 50 libraires
et celui de l'Oiseau lire
Kodhja
Thomas Scotto - illustrations Régis Lejonc
Editions Thierry Magnier - 20.50€
Un jeune garçon pénètre dans la cité de Kodhja, pour rencontrer le roi, le seul à pouvoir lui redonner ce qu'il a oublié, ce qui l'a construit. Il est accueilli par un murmure de protestation et par un jeune garçon malicieux. Nous mettons nos pas dans les leurs pour un dédale cauchemardesque de pièges, de dangers , l'enfant affronte ses peurs, ses angoisses, ses émotions, ses souvenirs : des silhouettes familières tel que Prévert, Tintin, Alice, King Kong... , périple entrecoupé d'un labyrinthe, « d'une fontaine majestueuse » , d'un jardin fantastique, d'une forêt improbable, mais aussi un sous-terrain nauséabond peuplé de créatures hideuses, les colères du roi, ce roi que tout le monde veut rencontrer. Mais quand, enfin, arrive le moment tant attendu de rencontrer le roi, après toutes ces épreuves, il veut seulement continuer « sereinement » sa route .
Kodhja, un voyage initiatique magnifique, grâce aux mots de Thomas Scotto et aux sublimes illustrations de Régis Lejonc, des couleurs chaudes, douces, album, bande dessinée, un peu des 2, un grand album où textes et illustrations se répondent , pour nous émouvoir, raviver nos souvenirs,
Kodhja, un album fort et puissant qui nous accompagnera, vous accompagnera longtemps
Et, ce que vous ne trouverez pas dans Citrouille : l'entretien de l'Oiseau lire avec Régis Lejonc et Thomas Scotto
Texte et illustrations sont tellement indissociables dans votre album que l'on se demande forcément comment vous avez travaillé… Qui a eu l'idée, comment l'album s'est-il construit?
Thomas Scotto: Un jour Régis m’a demandé un texte… Je lui ai proposé celui-ci. Parce que, si tout ce que j’écris ne verra pas le jour, il y a des histoires auxquelles je crois viscéralement. Et je suis tenace. Que ce soit pour des textes épuisés, non réimprimés ou tout simplement refusés… Ce texte-là, je l’ai imaginé il y a vraiment longtemps. Un texte d’album que je voulais plus long que mes habituels. Peut-être un peu moins elliptique aussi, plus narratif. Un conte. Il a été refusé à l’époque par les éditions Thierry Magnier, et je ne l’ai pas proposé ailleurs. Alors il est devenu une pièce de théâtre. Déjà une adaptation du texte original, donc, et bien davantage d’ailleurs que celle d’aujourd’hui, faite avec Régis et Angèle Cambournac, l'éditrice - Angèle et les éditions Thierry Magnier que je remercie entièrement d’avoir enfin permis que vive Kodhja !
Régis Lejonc: Entre le moment où Thomas m'a proposé le projet et celui où j'ai terminé ma partie du travail se sont passées trois à quatre bonnes années. Tout ce temps a permis d'y penser, d'intégrer cette histoire en moi malgré les autres projets. Un temps de maturation et d'appropriation qui a donné ce lien indissociable. Pour le travail en lui-même, j'ai fait d'emblée un découpage en BD alors que le projet était celui d’un album classique pour Thomas, comme pour les éditions Thierry Magnier. Ce découpage en séquences s'est imposé à moi par le texte qui comporte de nombreux dialogues, et sa notion de déambulation, de cheminement que la narration BD permet de porter plus naturellement que l'illustration. Du coup tout ça s'est fait de manière très naturelle pour moi. J'ai pu proposer des suggestions narratives de poids à Thomas, comme l'enfant masqué, les références à des personnages de nos enfances respectives, ou les trois personnages qui attendent de rencontrer le roi. La confiance et l'amitié que me témoigne Thomas m'ont permis ces appropriations. Elles ont fait sens pour Thomas, ce qui m'a encouragé pour la suite.
Thomas Scotto: Dans ce Kodhja devenu BD, l’échange avec Régis a été tellement précis, serein et confiant que je n’ai aucune impression d’immenses changements. Evidemment, les mots en trop ont disparus mais c’est le fait même du texte d’album. Des dialogues croisés qui ne passaient pas en BD ont été réorganisés. Mais tout est là. On devrait toujours créer de cette façon! J’ai une vraie admiration pour «l’image». Et pour ce texte mystérieux, dès le début, bien sûr, il fallait de l’image. Le talent "multi-facettes" de Régis est la marque de sa générosité naturelle. Dans chaque planche, il a raconté mon Kodhja, et le sien et le nôtre, en laissant à chaque lecteur tout son champ de possibles. Je crois qu’il va nous falloir d’autres projets ensemble. Indispensable !
Ce choix d'un grand album à la fois bande dessinée et texte illustré fut-il aussi facilement accepté par l'éditeur que par Thomas?
Régis Lejonc: Le choix de la narration, entre BD et illustration, n'a pas été un problème pour Angèle Cambournac, même si la BD ne fait du tout partie de la culture de cette maison d'édition. Ce choix narratif a tout de suite été accepté et nous avons été accompagnés dans ce projet. Une juste distance s'est posée entre Thomas, l'éditrice et moi. Une distance sans ingérence mais faite de retours constructifs et justes. Et puis quand j'ai avancé plus amplement sur le découpage du texte et le placement de celui-ci dans les case et pages, Thomas est venu passé une journée à l'atelier pour ré-écrire les passages qui comportaient des nœuds de lecture, le texte n’étant pas un scénario. J'ai fait une sorte d'adaptation de son texte sous forme de BD, et lui est venu replacer son écriture et sa sensibilité une fois les images réalisées.
L’album fourmille de références aux livres, à notre culture - je n’ai pas tout trouvé! Vous êtes vous entendus immédiatement sur leur choix… ou bien Régis a-t-il joué en franc-tireur?
Régis Lejonc: Les clins d'œil et les références sont une manière de créer un lien avec le lecteur. Mon enfance correspond à la fin des année 70 et au début des années 80. Ce qui a bercé mon enfance est de cette époque. Thomas a 10 ans de moins que moi mais on partage des choses de cette époque là. Thomas m'a fait passer des idées, des personnages ou des célébrités qui lui sont chers, et moi j'ai fait la même chose. Tout ce qu'on trouve dans le livre vient de l'un ou de l'autre. Et tout ne cherche pas à être perceptible et intelligible. Tout n'est pas à trouver…
Le printemps des poètes
A la médiathèque d'Evreux
le samedi 12 mars
Carte blanche à
Bruno Doucey ©Murielle Szac-Ed.B.Doucey
Bruno Doucey
auteur, éditeur,Bruno Doucey propose au cours de cette journée
des ateliers, des lectures et une rencontre
« Si la poésie ne vous aide pas à vivre faites autre chose.
Je la tiens pour essentielle à l’homme,
autant que les battements de son cœur. »
Bruno Doucey
Ses interventions s'articulent autour de la collection Poés'idéal
Seront aussi présents
Jin Eun-young poétesse coréenne
Jin Eun-young ©Lim Mi-hye
pour Des flocons de neige rouge 15.00€
et
Garous Abdolmalekian, poète iranien
Garous Abdolmalekian ©Setka Films
pour Nos poings sur la table 14.50€
Et, bien sûr, nous serons présents avec les livres des poètes invités,
livres que vous pouvez retrouver à librairie et sur notre site
Mercredi 24 février
Kochka
à la librairie
Pour une rencontre-dédicaces de 14h30 à 16 heures
et à 17 heures
venez l'écouter lire un conte inédit:
Princesse Samia ou le rêve d'une petite souris
et ensuite, toujours avec Kochka
écouter et écrire des poèmes
-réservation indispensable-
Et toute la semaine Kochka rencontrera ses lecteurs dans le cadre des Dévoreurs de livres
Vous pouvez vous procurer ces livres à la librairie ou sur notre site
Yasuké - Frédéric Marais - Editions Les Fourmis rouges -16.50€
Frédéric Marais nous conte l'histoire vraie de Yasuké, un enfant noir né au pied du Kilimandjaro, un enfant sans nom, isolé, vivant avec les animaux, marqué comme eux. Un jour il part à la recherche d'un nom. Il marche, rencontre la mer, un bateau sur lequel il travaille, navigue des années, mais il n'a toujours pas de nom. Et puis un jour le bateau arrive dans un pays inconnu. L’équipage débarque et tous sont emmenés auprès du puissant et redouté seigneur Oda Nabunaga qui n'a jamais vu d'homme noir. Il est impressionné par les qualités physiques du garçon et le prend sous sa protection. Il le confie à un maître d'armes. Cet homme sans nom devient un combattant redouté fidèle au seigneur qui le nommera samouraï.il prendra alors comme nom Yasuké. C'est ainsi qu'un esclave venu d'Afrique devint samouraï, le seul samouraï noir.
Ocre, noir, bleu, éclairé de blanc donnent force à cet album, avec quelques clins d’œil à Hokusaï. Magnifique.
Annie
Le gagnant
Au niveau national
est
Adam et Thomas
de
Aharon Appenfeld
Traduction de Valérie Zénatti
Edition de l'Ecole des loisirs
Et, en Normandie
C'est
Le fil de soie
De Cécile Roumiguière
Illustrations de
Delphine Jacquot
Editions Thierry Magnier
Delphine et Cécile étaient présente pour la remise du Prix
Une extraordinaire journée grâce aux enfants et à leurs enseignants
Merci à tous
Retrouvez ces livres sur notre site
www.loiseaulire.fr
A la Médiathèque d'Evreux
Mercredi 8 avril
à partir de 18 heures
Sylvie Deshors
Deux de ses romans sont dans la sélection des Dévoreurs de livres
L'école du Tonnerre 10.80€
Illustrations Malik Deshors
Editions Rue du monde
pour les CM
et
Fugueuses 9,20€
Editions du Rouergue
pour les 4èmes
Mais elle est aussi l'auteur de Polars, de premiers romans
Bibliographie sur notre site
www;loiseaulire.fr
ET
SAMEDI 11 AVRIL
à 10h30
Pénélope Jossen
La Grosse bête 8.20€
Editions de l'Ecole des Loisirs, 8.20€
est dans la sélection des Croqueurs de livres
Venez les rencontrer
dans le cadre d'un cycle littéraire consacré aux auteurs de littérature jeunesse proposé par la médiathèque.
Des rencontres magiques...
Claude K;Dubois a rencontré trois classes de La Madeleine
La Madeleine, quartier "sensible"
Pour nous ce jour là, un quartier, des écoles, où il se passe des choses extraordinaires
A l'école Joliot Curie
les enfants avaient illustré au fusain et mis en voix l'histoire d'Akim
Une question qui est revenue dans chaque classe:
Dans quelle guerre vit Akim ont demandé les enfants :
J'ai voulu parlé des enfants qui vivent quand c'est la guerre dans leur pays, ou la guerre autour d'eux, mais c'était un peu compliqué à faire parce que il y a déjà des livres sur la guerre et j'avais envie de prendre ce livre d'une façon un peu particulière, de donner l'impression que l'on était cet enfant là, sans raconter beaucoup de choses mais avec beaucoup d’images. J'avais envie de donner les impressions que peut avoir cet enfant, un petit enfant qui se retrouve seul, il a perdu sa famille, plus rien n'existe, tout est détruit. J'avais envie de raconter cette histoire là. Et puis tout à coup, un petit déclic dans ma tête et j'ai enfin pu réaliser cet album qui est un livre important pour moi car il y a dedans tout l'amour que j'ai pour les enfants, et tout l'amour que j'ai pour les gens, pour les personnes qui vivent dans la peur, les personnes qui souffrent, et particulièrement les enfants car ils ne sont pas responsables du monde des adultes. Akim ne comprend pas ce qu'il lui arrive, c'est un enfant, il s'amuse, il joue, il a ses amis et tout d'un coup il se retrouve pris dans quelque chose d'incompréhensible pour lui. Et moi, ça me fait mal au cœur, alors j'avais envie d'en parler
Une question toute simple, une réponse qui a touché les enfants impliqués dans le Prix Janusz Korczak, un prix,pour un jury d’enfants en hommage au défenseur de leur droit au respect et à la protection .
Les enfants de la classe de CM2 de Mr Le Garrec de l'école Michelet avaient un extraordinaire cadeau pour Claude. Une déambulation poétique...Soudain, ils se sont levés, ils ont pris la parole, et dit, des poèmes. C'était magique, on assistait à un ballet poétique, ils se mouvaient, prenaient la parole comme des professionnels.
Et l'après-midi
A la bibliothèque de quartier
les questions étaient "très préparées" car enregistrées pour une émission que vous pourrez écouter bientôt sur Principe Actif
il faut vous dire que le matin aussi nous aurions du être à la bibliothèque mais les dangers de l’éclipse
ont confinés les enfants dans leur classe
Et samedi elle était à la librairie
Vendredi 13 mars
Anne-Laure Bondoux
à rencontré ses jeunes lecteurs
dans le cadre du Prix des dévoreurs
Les médiathèques du Neubourg et de Brionne
accueillaient les élèves des collèges Pierre Corneille et Pierre Brossolette
Et le soir
Anne-Laure était à la librairie
pour une rencontre passionnante
Elle a captivé ses lecteurs jeunes et adultes
Une vidéo d'Anne-Laure lisant et expliquant un extrait de son livre
Le Temps des miracles
Regardez et vous comprendrez pourquoi nous étions passionnés
Vous pouvez retrouver les romans d'Anne-Laure à la librairie.
Pour en savoir plus