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Voici la sélection des Dévoreurs de l'année 2011

Voici la sélection des dévoreurs de l'année :

Les discussions furent animées et, à mon grand regret, deux titres ne figurent pas sur la liste des 3e :


+Je suis le chapeau d'Alex COUSSEAU, qu'une seule voix aura suffi à écarter. Et pourtant, quel livre génial !

+ Un automne à Kyoto de Karine REYSSET. Tout le monde était d'accord sur la qualité de l'écriture, sa poésie, et le plaisir que chacun a eut  à le lire. Mais - eh oui, il y a un mais - Margaux, l'héroïne de 16 ans, tombe amoureuse d'Eric, un jeune adulte et ils... font l'amour... une fois.
Impossible - disent les enseignants - de donner un tel livre à des collégiens (de 3e) sans protestation des parents.

Si je vous parle de ces deux livres, c'est pour éveiller votre curiosité, vous donner envie de les lire et de les ....faire lire..

Annie


je suis le chapeau.jpg

Je suis le chapeau

Un roman époustouflant qui nous emmène à la recherche du propriétaire d'un chapeau. Chapeau qui coiffait un ours, ours tué par le père de Oukiok et Wanda .Ce sont ces deux enfants Inuits qui partent sur les traces de l'homme à qui appartenait le mystérieux chapeau. Avec ces deux enfants, malicieux, un peu sorciers, en tout cas déterminés, nous parcourons d'immenses étendues de neiges, nous rencontrons de beaux  personnages et nous apprenons beaucoup sur le monde des Inuits et sur le tournage du premier documentaire muet : Nanouk, que l'on a envie de voir ou de revoir en refermant ce livre.

Un beau roman, très bien écrit. De courts chapitres, qui nous entrainent dès les premières pages dans cette aventure prodigieuse aventure humaine.

 

 

Un automne à Kyoto.jpgUn automne à Kyoto

Pour en savoir plus, je vous invite à aller visiter le site de la librairie Comptines de Bordeaux. Voici le lien :

http://librairiecomptines.hautetfort.com

 


Commentaires

  • Un automne à Kyoto a lui aussi été écarté d'une seule voix et ce n'était pas celle d'une enseignante en collège...
    Ce roman évoque la vie telle qu'elle peut se tisser et non pas telle qu'une certaine pensée bien pensante voudrait la voir se tisser, droite et rectiligne, sans heurt. C'est dans l'air du temps...

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