Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Padouk s'en va

    Padouk s'en va.jpgPadouk d’en va
    Thomas Lavachery
    L’Ecole des Loisirs, 12 €

    Padouk est très malade. Ses amis ne veulent pas le laisser « partir », et pourtant calmement Padouk les quitte. On l’enterre dans un bel endroit, on le pleure, et puis la vie continue jusqu’à ce que la sœur de Jojo s’aperçoive avec horreur qu’elle ne se souvient plus du visage de Padouk. Tous essaient de se souvenir, en vain. Heureusement Jojo a une idée. Il prend une boule de terre argileuse et, aider des souvenirs de chacun, peu à peu, fait apparaître le visage de Padouk.

    Un album sur le deuil, tout simple, plein de vie et efficace.

    Annie

  • Ce qu'ils n'ont pas pu nous prendre

    Ce qu'ils n'ont pas pu nous prendre.jpgCe qu’ils n’ont pas pu nous prendre
    Ruta SEPETYS
    Gallimard Jeunesse, 14 €


    Une nuit de juin 1941, l’horreur frappe à la porte de Lina et de sa famille.

    « Vingt minutes, répond-il en aboyant.
    Sur ce il jette son mégot de cigarette encore allumé sur le parquet propre de notre salon et l’écrase d’un coup de talon.
    Nous étions sur le point de devenir des mégots de cigarettes. »

    Ils prennent quelques affaires et sont entassés dans un camion, puis dans un wagon à bestiaux pour un long voyage vers la Sibérie. Non, ce ne sont pas des wagons vers les camps de la mort d’Allemagne, mais les conditions sont les mêmes. Heureusement, l’amour, l’entraide leur permet de survivre et d’arriver en Sibérie. L’on découvre à travers le récit de Lina, les conditions de vie inhumaines des déportés, que nous connaissions par Alexandre Soljenitsyne mais que peu de romans pour adolescents ont abordées jusqu’à présent.

    Ce roman dense, passionnant, où l’humain l’emporte sur l’historique, nous fait découvrir la terreur, la maltraitance, la faim infligées à ces peuples, et le froid toujours présent. Mais l’on découvre aussi la solidarité, l’humour, la soif de liberté, la volonté de témoigner, de laisser une trace. Lina, marquée par les personnages de Munch, dessine ce qu’elle vit. Ruta Sepetys a été frappée par les récits des déportés et le peu de place dans l’histoire sur la déportation des peuples des pays baltes annexés par Staline.

    Les personnages du roman sont inventés, mais les faits sont réels. Les cris, les chuchotements restent en nous longtemps après que nous ayons refermé ce livre. Un grand livre.

    Annie

  • Dévoreurs de Livre : participation individuelle

    Cette année


    on peut participer aux Dévoreurs de Livres


    individuellement !


    Pour cela, il suffit de venir chercher un


    bulletin de participation


    à la librairie

    avant le 29 février 2012


    Seule obligation : avoir entre 9 et 18 ans

  • Meilleurs voeux 2012

    Voeux 2012.jpg